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Le départ pour Serge - Dédé - Alain - Guy - Patrick - Christine - Patricia - Jean-Pierre - Doumé et Gaelle se fait à hauteur de la citerne reliant Montauroux à St Cézaire. Il fait beau. Nous prenons un sentier à travers bois, au milieu de chênes centenaires qui va nous conduire au plus profond des gorges de la Siagne. L’ambiance est joyeuse, la marche est facile et sans difficulté. A mi chemin de la balade, à la demande générale, le casse croute s’impose sur une petite plage au bord de la siagne, prés du pont des Tuves. Le lieu est superbe et reposant. Un silence total marqué seulement par les rires du groupe. On en oubliera presque d'ailleurs de poursuivre la randonnée tant l’endroit est propice au repos ! 

Puis il nous faut repartir. En longeant la rivière, nous traversons quelques ponts, croisons quelques ruines anciennes de moulins qui nous rappellent qu’une activité rurale a existé en des temps pas si lointains. Puis une petite ile s’offre à nous. Serge qui trouve l’endroit magnifique nous invite à le suivre en traversant la rivière. L’eau est froide, certains hésitent, mais finalement la beauté de l’endroit l’emporte. Aucune chute dans la Siagne et c’est la pause déjeuner avec en guise d’apéro un super Spritz signé Doumé, puis un Limoncello maison en guise de digestif de notre sympathique grincheux Patrick.  Il ne se fera pas prier après le repas pour faire une bonne sieste au bord de l’eau en compagnie de Jean-Pierre.

Mais comme toujours la journée passe trop vite et il nous faut continuer avec une dernière montée qui nous ramène au parking. Vivement la prochaine randonnée.

C'est au pied du petit village de Beuil, que nous avons rendez-vous avec notre amie Vincent, le régional de l’étape. Le départ se fera  à hauteur des tennis pour Guy - Alain - Christine - Patrick - Dédé - Claudine - Jean-Pierre, Serge et Claudine. C’est partie pour la randonnée raquettes aux pieds. Le ciel est bleu, dégagé, le soleil  est présent. Après une montée un peu raide, nous voici sur le plateau St Jean. Nous  décidons d’effectuer une halte casse croute avec un point de vue sur le sommet du pommier et de sa crête enneigée. Notre petite dernière Claudine peut enfin se reposer !!!

Puis c’est le départ et nous progressons à travers une étendue enneigée en pente douce, nous traverserons une forêt de mélèzes. La marche dans cette neige légère est facile et agréable mais n’empêche pas les chutes et les rires. Le barbecue se fait  à la bergerie de Vincent, sous un soleil radieux. Serge est aux commandes,  comme toujours. L’ambiance est exceptionnelle et conviviale, Jean-Pierre y va de sa petite chanson. Le groupe est enchanté, le personnel féminin sous le charme. Mais le temps passe trop rapidement et il faut rentrer, encore une heure de marche et voila le village de BEUIL qui apparaît au détour d’un chemin, dans le soleil couchant.  Superbe.

Merci à Serge pour les photos et le BBQ.                           

 

^{07 h 30, le groupe est au rendez-vous :  André - Guy – Patricia – Christine - Jean-Pierre – Patrick -  Alain -  Serge et Jean-Marie.}

^{De mes années passées à SAINT-TROPEZ,  j’en garde un merveilleux souvenir. J’ai toujours en moi ces  paysages superbes faits de vignobles et  de plages ( Pampelonne – Escalet – Salins… ).  Je ne manque jamais une occasion d’en faire profiter mes amis de l’association et c’est pourquoi après une première randonnée en 2014 qui nous avait conduit de la plage de l’Escalet à Ramatuelle, au cap Lardier à la Croix Valmer , nous avons décidé de refaire le sentier du littoral mais au départ de Saint-Tropez.  En été ça chauffe !  Alors attention aux coups de soleil car il est au rendez-vous.}

^{Le départ se fait à partir de la plage des Canebiers. Nous prendrons notre temps pour jouir du paysage. Peu après le départ on passe devant une maison avec une petite écuelle sur laquelle est écrit "Toutou's Bar", il s’agit de la maison de BB. Patricia et Christine essaient de voir l’intérieur de la Madrague et n’hésitent pas à se prendre en photos.  Après une pause sous la villa de Von Karajan et une démonstration de Canadairs dans la baie, nous poursuivons sur le sentier des douaniers et longeons les parcs de Saint-Tropez et ses villas de milliardaires.}

^{Puis nous franchissons la pointe de la Rabiou et celle de l'Ay. Au détour d’un sentier, on découvre des plantes comme la griffe de sorcière avec sa fleur, le lentisque, le pin d’Alep etc.… notre photographe Dédé s’en donne à cœur joie. Le sentier suit le bord de mer, magnifique. Puis nous arrivons à la plage de la Moutte, où nous nous arrêtons pour le déjeuner. Patrick et Jean-Pierre n’hésitent pas et se baignent. Le reste de la troupe, après avoir trempé les pieds, n’ira pas plus loin. On profite de l’endroit. Les couleurs sont exceptionnelles, Un petit coin de paradis. On se croirait dans une peinture de Paul Signac.}

^{Mais, le temps passe trop vite, et il faut rentrer. Avec regret nous repartons en direction de la plage des Salins, nous passons devant le tombeau d’Emile Ollivier sur le sentier où il est inhumé avec son épouse, face à la mer.  La plage est presque déserte,on quitte le littoral par un sentier qui s'élargit ensuite en chemin et en route goudronnée afin de rejoindre notre point de départ la baie des Canebiers. De part et d'autre de cette route de très belles villas ou plutôt de magnifiques domaines !  Super journée avec en prime un sacré coup de soleil pour tous.}

^{Rendez vous est pris pour 2017 :  Ce sera le village de Saint-Tropez et le musée de la gendarmerie, que de souvenirs pour le président ……..}

SORTIE placée sous le signe de CUPIDON……

Nous sommes 9 au rendez vous : Guy, Dédé, Patrick, Alain, Serge, Christine, Patricia, Doumé, Jean-Paul.

Le départ se fait à partir du parking du col Notre Dame à Agay. La bonne humeur est présente comme toujours.   Nous décidons de nous rendre au sommet du Pic de l’Ours par un sentier qui serpente à travers les arbousiers. C’est en ce lieu que la halte casse-croûte s’impose au pied de son imposante antenne et d’une vue imprenable sur la mer.  Après le réconfort, l’effort et c’est avec le sourire que le groupe attaque la descente qui va nous conduire à la dent de l’ours, immense blocs de roches rouges, où après quelques photos, nous poursuivons entre pistes et sentiers pour rejoindre le sommet des Grosses Grues qui nous fait face.

La montée aux sommets des Grosses Grues constitue la partie la plus accidentée de la sortie. Chacun y va de son petit reproche au président. En effet, tout au long de ce parcours se trouvent de courts passages où il faut mettre les mains sur les rochers pour grimper et descendre les deux modestes cimes successives. C’est à 440 m d’altitude que nous effectuons la pause-déjeuner, non sans avoir repris notre souffle.

La balade est superbe et le point de vue magnifique, tantôt sur les Alpes-Maritimes (Mercantour, littoral cannois, îles de Lérins, Grasse...), tantôt sur le Var (pointe du Cap Roux, Saint-Raphaël, Golfe de Saint-Tropez…).

Mais il se fait tard, la nuit tombe vite en janvier et il nous faut rentrer. Dominique ouvre la route, mais à la balise, alors que nous devons emprunter le chemin de crête baigné de soleil pour le retour, notre camarade s’égare et c’est à travers de nombreux éboulis que nous continuons en direction du col de la cadière, où par un large sentier nous rejoindrons nos véhicules. Nous partîmes à 9 et revînmes à 10. Cupidon quand tu nous tiens……….

Malgré une météo qui prédisait  la pluie, le groupe du LE JE DIS est bien présent sur notre lieu de rendez vous à Grasse. Aujourd’hui pas de randonnée, mais une sortie ludique au village de SEBORGA (Italie) avec un passage obligée pour les dames au marché hebdomadaire de Bordighera.,  Tous sont là : Dédé, Christine, Patricia, Patrick, Jean-Paul, Alain, Jean-Pierre et Lionel.
A l’issue de la visite du marché, et après quelques achats, un arrêt au bar de la place s’impose, certains iront de leur collation italienne capuccino, d’autres prendront une bonne bière pour se désaltérer.Puis nous partons pour SEBORGA, village médiéval qui se mérite car depuis Bordighera, la route grimpe fortement avec de nombreux lacets. Situé en altitude, il fait un peu frais en ce mois de décembre.Petit arrêt photos à la guérite, vide de tout militaire et sans présenter nos passeports,  nous voilà dans la principauté.    A cette époque de l'année, le touriste est rare et nous avons pu profiter du village très bien entretenu. Nous nous sommes aventurés dans les ruelles pavées, et découvert de jolies petites placettes et visité bien sur l'église du village. Dommage pour nous mais la place centrale était en cours de rénovation. Mais comme dans Astérix tout se finit toujours par un repas et c’est avec plaisir que nous avons effectué la pause déjeuner au Ristorante Marcellino's où notre champion local Jean-Pierre a mis le feu et l’ambiance avec ses chansons paillardes au milieu d’un groupe de personnes âgées éberluées et agréablement surprises qui ont eux aussi poussé la chansonnette. Des duos inédits.    

Un peu d'histoire : Dans les années 1950, les habitants de Seborga revendiquent la réactivation de l'indépendance par rapport à la République italienne, en vertu de son ancien statut de principauté dont la localité aurait joui autrefois, et ils considèrent comme illégale l'annexion au royaume de Sardaigne, puis à l'Italie.La proclamation de Seborga en tant que principauté remonte à 1963 lorsque le fleuriste du village, Giorgio Carbone, est élu « prince Giorgio I^er de Seborga ». Un plébiscite auprès de la population du village approuve alors sa proclamation par 304 voix contre 4^[. Cette sécession se base sur le legs du village à l'abbaye de Lérins en 954 par un comte de Vintimille ainsi que sur la protection de la maison de Savoie, disparue en 1946 et vécue comme une « annexion » à l'Italie. Le 22 février 2016, Nicolas Mutte, un écrivain français, s'autoproclame « prince de Seborga » sous le nom de « Nicolas I^er » 

Jeudi 21 mai 2015: Le circuit de Tracastel et la Clue de St Auban, cette sortie avait été annulée en raison du mauvais temps et nous avions décidé de tenter à nouveau cette randonnée. C'est donc le 26 novembre 2015 que nous remettons ça.  07h15, nous sommes au rendez-vous à la caserne de St Claude. Quel plaisir de se retrouver. Les fidèles sont là, ma garde rapprochée pleine de bonne humeur. Je veux parler de Dédé, Alain, Christine, Patricia, Patrick, Jean-Paul, Dominique et Jean-Pierre. C'est donc à neuf que nous nous dirigeons vers St Auban. Il fait beau, la température bien qu’un peu fraiche est idéale. Nous devrions passer et avoir une journée magnifique.

Le départ se fait devant l’Eglise du village. La plus grande difficulté se trouve au début du parcours avec une montée simple mais de 240m de dénivelé environ avec une succession d’escaliers en pierre pour rejoindre le chemin de randonnée.Le sentier est déjà bien raide et je suis étonné que les remarques habituelles ne fusent pas !!! C’est la seule difficulté du parcours comme je le répète à Dédé.

Bientôt nous passons la porte de Tracastel dernier vestige de la cité gallo-romaine, quelques photos pour immortaliser et nous nous retrouvons sur la barre rocheuse où la vue  est prodigieuse. Ces falaises servaient de promontoires pour les condamnés à mort qui étaient poussés dans le vide. Le village de St Auban (du nom d'un capitaine espagnol, San Albano) s'appelait alors Puget de Mallemort. C'était l'intermède histoire !!!

Le village de St Auban se fait petit, et nous découvrons au loin, le sommet des Arpille et de la vallée de l’Esteron.  La suite du parcours est facile et suit le long du flanc de la montagne en empruntant la forêt dominicale du Pensier jadis détruite par le feu pour supprimer les loups qui l'habitaient.

La pause casse-croûte se fera au sortir du bois, au soleil.  Revigoré c'est à petits pas que nous nous dirigeons vers la route et l’entrée des clues par un joli sentier dans les sous-bois, sauf Patrick, qui plein d’énergie, vraisemblablement sous l’emprise d’un produit hallucinogène, nous laisse sur place.

Une petite pause au bord des clues, puis sans savoir pourquoi, les filles pour s’amuser font de l’auto-stop et ironie du sort, un camion de boucherie ambulant s’arrête et propose de les ramener au village de St Auban. C’est à ce moment là que Dédé et Patrick décident de profiter du transport afin de récupérer les voitures. L’idée est bonne, car le froid commence à se faire sentir, l’heure tourne et mes compagnons ont faim.

Quelques minutes plus tard, nous voila dans les véhicules, direction Les Lattes, où au bord d’une clue, un super barbecue nous attend. Ambiance exceptionnelle au sein du groupe, mais le temps passe trop rapidement et il faut rentrer.  Nous avons envie de prolonger encore un peu cet instant et c’est au café restaurant du village d’Escragnolles que nous finirons cette petite randonnée.  Du moins pour certains, car pour d’autres………..C'est une autre histoire.

Merci aux participants et à très bientôt.

Jeudi 22 octobre 2015, le groupe est au  rendez-vous, caserne St Claude à GRASSE. Sont présents, Patricia et Christine, toujours souriantes, Dédé, Alain, Dominique, Guy,  Jean-Paul et Patrick,  porteurs de paniers à champignons.

Après avoir quitté GRASSE, nous prenons la direction de THORENC où le départ de la randonnée se fera depuis le Col de Bleine à 1439 m, où se trouve une stèle commémorative.

Un peu d’histoire avant de partir : Elle évoque le crash d'un bombardier B 24 Libérator,  n°42-52399, partant détruire le terrain d'aviation de Salon de Provence, le 27 mai 1944. Touché par les tirs de la défense allemande au niveau du cap d'Antibes et ayant largué ses bombes dans la mer, son équipage le dirigea sur l'arrière pays avant de sauter en parachute Les 10 hommes d'équipage furent sains et saufs. Cinq furent fait prisonniers et les cinq autres cachés par les familles locales seront récupérés par les troupes Us ayant participé au débarquement. L'avion s'écrasa au pic de l'Aigle.  La stèle comporte un morceau du blindage de l'avion.

Nous avons l’intention de chercher quelques champignons tout au long de la marche. Pour cela nous empruntons d’abord  une piste, puis un sentier et les sous-bois qui nous mèneront au sommet..

La marche est facile, Patrick est souriant et le moral est bon. Pourtant nous ne verrons pas la couleur d’un champignon, les sanguins ont du hiberner.  

Nous arrivons à la première partie du parcours, la citerne d’eau, c’est là que la pause casse-croute est décrétée par l’ensemble des marcheurs. La falaise est à proximité,  le paysage extraordinaire, Jean-Paul nous donne un cours de géographie et nous désigne au loin   l'Audibergue, le plateau de Calern, Caussols  et les ruines de Castellaras.  A nos pieds la plaine de Thorenc, le village et le Château des Quatre Tours.

Après cette petite restauration, nous reprenons notre route.  Plus que quelques centaines de mètres, une montée raide, mais courte et nous voila au pic de l'Aigle.  Le temps est beau, le ciel bleu,  un paysage à couper le souffle.

Du bord de la falaise, sous nos pieds nous découvrons la propriété du Haut-Thorenc  où on était  réintroduit depuis quelques années le Bison d'Europe et le Cheval de Prjevalski, si admiré de Patricia.  On distingue les chevaux dans la prairie et les bisons visibles en bordure de forêt. Alain a tout prévu et  ses  jumelles nous permettent d’admirer ces animaux et les quelques touristes arpentant le parc à bord de calèches.  

Nous sommes arrivés au but et il est l'heure de notre  pique-nique.  Dédé et Dominique sont en charge du barbecue. Alain nous propose un  rosé.  Le temps est magnifique, le soleil est présent, une douce chaleur nous entoure.  Nous suivons dans le ciel un parapentiste surgit de nulle part. Nous l’encourageons, il nous fait signe de la main et disparait au loin.  

Après le repas,  pour certains il est l’heure de la sieste, d’autres admirent le paysage aux jumelles.

Mais le temps passe et il est faut repartir.  La descente se fait dans la bonne humeur,  et après avoir vainement cherché des champignons, nous arrivons au Col de Bleine.  Les paniers aussi vides qu’au départ.

Encore une belle randonnée, où l’amitié une fois de plus nous  a permis de profiter à fond de cette journée.  Merci à tous.

Jeudi 18 juin 2015, ce n’est pas l’appel du Général, mais celui de l’association du LE JE DIS.  Aujourd’hui pour la majorité des adhérents nous  allons découvrir le VTT à assistance électrique, une nouvelle approche du VTT qui permettra de découvrir les paysages superbes de ROUBION, ici la boucle de Vignols, sans efforts ! Enfin on l’espère.

Nous sommes 14 au départ du village de ROUBION. Avec naturellement le comité directeur, à savoir le président Guy, le secrétaire André et le trésorier Alain ainsi que Patrick, Jean-Paul, Jean-Pierre, Patrice, Jean, Patricia, Christine, Rosa, Doumé, Lionel et Alexis, le fiston de Lionel qui nous en a mis plein la vue sur son VTT mécanique du haut de ses 14 ans.

Le circuit qui ne présente pas de difficulté s’est fait sous un soleil agréable et de belles couleurs de printemps. Pique-nique dans la bonne humeur en bordure et dans la rivière, à Vignols, petit hameau perdu dans la montagne composé de quelques ruines et belles maisons refaites, avec un point de vue magnifique sur les alpages. Mais l’orage devenant menaçant, nous écourtons avec regret la découverte du hameau pour faire retour au village où comme à l’accoutumée une bière nous attend à l'arrivée.

Superbe rando, belle ambiance, et bonne participation des adhérents de l’association.